Créer un site internet

Les présidents Américains étaient-ils tous au courant ?

 

Chaque éditorialiste a proposé ses commentaires après l’élection américaine.

Whitley Strieber aborde la question sous cet angle : “L’arrivée d’Obama pourrait-elle amener un changement d’attitude en ce qui concerne le sujet des O.V.N.I. ?

Quand le sujet a été évoqué pendant la campagne, il s’est contenté de sourire et il a botté en touche. McCain, de son côté, avait déclaré qu’il contraindrait la NASA à révéler ses secrets.

Au fil des années, j’ai pu apprendre quelques petites choses sur les présidents et les O.V.N.I., que je vous résume ici :

1. Harry Truman (1945-1953) : Il avait donné les ordres qui furent suivis dès 1949 d’abattre les intrus. Cette politique fut poursuivie sous Eisenhower, au moins jusqu’à la fin des années 50, lorsqu’il apparut que la technologie des visiteurs était trop avancée et qu’il s’avèrait impossible de les abattre. Le fait que de tels ordres aient été donnés a toujours été nié par l’US Air Force. Toutefois, un étonnant document du MoD britannique déclassifié en Octobre confirme qu’un pilote américain, Milton Torres, avait reçu l’ordre de tirer sur un O.V.N.I. dont la taille était celle d’un avion de ligne, qui survolait l’Angleterre en 1957.

2. Dwight Eisenhower (1953-1961) : Il était parfaitement au courant, et il a visiblement poursuivi la politique de Truman, jusqu’au milieu des années 50. Stanton Friedman pense qu’il a eu l’occasion d’une rencontre rapprochée sur la base Air Force de Muroc en 1954, mais, bien que nous ayons quelques éléments de preuve, la chose ne peut être confirmée.

3. John Kennedy (1961-1963) : Mon expérience personnelle me permet de penser que Kennedy et Johnson étaient conscients du phénomène. J’ignore si sa prétendue volonté de divulguer fut en partie la cause de son assassinat. Toutefois, Jim Garrison, le procureur de la Nouvelle-Orléans qui avait mené l’enquête, avait déclaré que Fred Crisman (qui avait été impliqué dans l’Incident de l’île de Maury, en Juin 1947), était un ami de Clay Shaw, et pensait qu’Oswald était bien l’un des conjurés.

4. Lyndon Johnson (1963-1968) : Il a été approché, ainsi qu’on me l’a fait comprendre, par des responsables de la CIA qui souhaitaient le brieffer sur le sujet. Il n’avait pas semblé interessé et préfèra que le vice-président Hubert Humphrey reçoive cette information. Par la suite, Humphrey avait seulement déclaré qu’une diffusion publique pourrait avoir des conséquences imprévisibles.

5. Richard Nixon (1969-1974) : Parce qu’il avait occupé la vice-présidence sous l’administration Eisenhower, Nixon était très informé, et son intérêt pour le sujet était tel qu’il en parlait avec des amis, dont Jackie Gleason. Beverly, la femme de Gleason, m’a révélé personnellement qu’il avait emmené Jackie sur une base de l’Air Force en Floride, et lui avait montré quelques débris d’Ovnis, dont un disque intact. Cependant elle ne m’a pas parlé de cadavres aliens. J’ai appris, de l’assistant d’un membre du Congrès, que la NASA et l’Air Force avaient assez peu apprécié la manière un peu trop cavalière dont Nixon avait fait preuve en ce qui concerne un sujet aussi sensible à leurs yeux, et les présidents ultérieurs ne furent pas aussi largement informés.

Whitley Strieber fait l’impasse sur Gerald Ford (1974-1977)..

6. Jimmy Carter (1977-1981) : Il avait cherché à savoir, mais on lui a dit de se tenir à l’écart, et il fut contraint de rétracter la promesse qu’il avait faite pendant sa campagne promise de “tout révéler” au sujet des O.V.N.I.

7. Ronald Reagan (1981-1989) : Reagan et son épouse étaient assez concernés par ces affaires, mais parce que son entourage avait remarqué dès son premier mandat qu’il était sujet à des pertes de mémoire, il fut considéré qu’il serait trop risqué de lui en dire trop. Toutefois certains de mes amis avaient participé à une fête où les Reagan étaient attendus; c’était bien avant qu’il se lance dans une carrière politique. Ils étaient arrivés en retard, et avaient causé la surprise en racontant pourquoi : alors qu’ils traversaient Mulholland Drive, dans les collines de Los Angeles, un endroit bien moins fréquenté qu’aujourd’hui, ils avaient vu un objet éclairé sur le côté de la route. Ils étaient sortis de leur voiture et s’étaient avancés dans sa direction. C’était un disque argenté. Tout ce dont ils se souvenaient, c’est que 45 minutes s’étaient écoulées et ils se trouvaient à nouveau dans leur voiture. Je n’ai aucune raison de douter de ce récit. Cet incident n’a jamais été révélé publiquement, mais ça pourrait expliquer pourquoi, dans le cours de sa carrière, Reagan a fait plusieurs allusions à une menace éventuelle de la part des O.V.N.I.

8. George H. W. Bush (1989-1993) : On présume que George H.W. Bush devait savoir quelque chose parce qu’il avait dirigé la CIA. Cette nomination relève cependant d’une décision politique, et je suis certain qu’il n’est pas au courant de tout.

9. Bill Clinton (1993-2001) : Il s’est montré intéressé par le sujet, grâce en particulier à son ami Laurence Rockefeller qui pendant plusieurs années tenté d’intéresser les leaders mondiaux au phénomène. Il avait reçu Bill et Hillary Clinton dans son ranch au Montana. Il m’a raconté, ainsi qu’à ma femme, comment ça s’était passé : il avait amené le sujet pendant le dîner, mais ils n’avaient pas réagi. Le lendemain matin, Hillary lui a demandé de ne plus en reparler. Plus tard, dans le cours de la journée, Bill Clinton lui a dit que c’était un “tar baby”, en référence à une légende selon laquelle un type dépose une statuette faite de goudron sur le bord de la route, parce qu’elle ne veut pas lui parler, et finalement se retrouve englué en essayant de s’en débarrasser.

10. George W. Bush ( 2001-2009) : Nous n’avons pas la preuve que George W. Bush ait été informé sur ce sujet. Il est probable que son histoire avec l’alcool et l’abus de drogues, ajoutée à ses croyances religieuses, pourrait avoir dissuadé ses tuteurs de lui confier quelque chose, à moins qu’il l’ait demandé.

Je ne vois aucune raison qui puisse empêcher Barack Obama de bénéficier d’un briefing, mais sa réaction semble imprévisible. On imagine qu’il pourrait souhaiter marcher sur les traces de Kennedy et procéder à une forme de divulgation.”

Commentaires

  • doris
    • 1. doris Le 06/05/2009
    On arrivera bien a savoir la vérité un jour : i want to believe ...
  • Le Voyageur
    • 2. Le Voyageur Le 09/05/2009
    J'aimerai vraiment savoir quelles informations sont données au nouveau président au moment de prendre ses fonctions... Quoi qu'il en soit, il doit surement etre jaugé et étudié afin de savoir s'il est digne au niveau de ses convictions personnelles de connaitre de tels secrets.

Ajouter un commentaire