Nibiru - Marduk - Nemesis - Hercolubus

 


NIBIRU - PLANETE X
A la recherche de la dixieme planète

La NASA a cherché longtemps cette planète exclusive et cherche encore aujourd'hui.
Les Sumériens conaissaient déjà l'existence de la planete il y a 6000 ans !


Nibiru, (en sumérien) la planète mythique, a reçu différents noms à travers les âges. Les Babyloniens et les Akkadiens l’appelaient Mardouk (Marduk), ce qui signifie en Akkad "grand Astre du Ciel" ou "Roi des Cieux" (cependant dans la plupart des textes babyloniens, Marduk, le dieu de Babylone, souverain des dieux et des hommes est identifié avec la planète Jupiter).

Les Égyptiens et les anciens Hébreux la représentaient sous la forme d’un disque ailé à cause de son immense orbite elliptique en forme d’ailes déployées, les Grecs l’appelaient " Nemesis". Les Prophètes l’ont rebaptisée "Étoile Rouge" ou " Croix de la Destinée", ainsi que " Messager Ardent" et "Comète de la Fatalité".

L’Apocalypse de Saint-Jean mentionne cet astre, le baptisant du nom "d’Absinthe, amertume", [Apoc. VIII, 11]. Cette planète gigantesque, habituellement désignée sous le nom d’ Hercólubus (ou Hercolobus), est appelée par certains la "Planète Froide" et d’autres la nomment la "Planète Rouge" ; elle est incontestablement beaucoup plus grande que Jupiter, le géant colossal de notre système solaire.

Selon les mythes, les Nibiriens (le peuple de Nibiru), sont souvent appelés les Anunnaki, en Hébreu ce sont les Nephilim (ceux qui sont descendus des cieux sur Terre), Elohim (pluriel de Dieu), ou encore Marduks ou Mardukiens.




Dans l'Antiquité, au moins cinq planètes de notre système solaire étaient connues des astronomes : Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, qui avec le Soleil et la Lune étaient les seuls corps errants dans la sphère des étoiles fixes et ont ainsi donné leur nom aux jours de la semaine. Depuis le 16ème siècle jusqu'à nos jours une pléthore d'objets est venue peupler le système solaire connu et le nombre de planètes est désormais porté à neuf depuis la découverte de Pluton en 1930. Cependant, un texte majeur d'astronomie le "Mul. Apin" (1000 avant J.-C) liste 66 constellations (ou astérismes). Première carte céleste connue (découverte à Ninive). C'est un planisphère en argile, divisée en 8 sections, et montrant une ou deux constellations avec les étoiles importantes (Sirius, l'Épi, Pégase, la Balance, etc.).

En 1978, 2 astronomes de l'observatoire de la Marine US à Washington, R. Harrington et T. Van Flanders établirent que les orbites de Neptune et Uranus avaient subi des perturbations venant de l'attraction gravitationnelle d'un mystérieux corps céleste non identifié et qui fut appelé la PLANETE X pour traduire à la fois son caractère énigmatique et le rang de dixième planète qu'elle occuperait au sein du système solaire. L'existence d'une planète au-delà de l'orbite de Pluton a été avancée pour rendre compte des perturbations observées sur le mouvement d'Uranus et Neptune, perturbations que la présence de Pluton seule n'arrivait pas à expliquer. Toutefois, les recherches visant à la mettre en évidence sont restées vaines, mais on a découvert depuis 1992 des astéroïdes trans-neptuniens. On attribue l'existence de ces astéroïdes à la présence d'une vaste région au-delà de l'orbite de Neptune peuplée de planétésimaux (stéroïdes et noyaux cométaires) : la ceinture de Kuiper.




Cette étoile brune et un groupe de comètes arrivent dans notre système solaire en même temps. Comme le "feu" s'est éteint il y a longtemps, cette naine brune ne donne pas de lumière. Cette étoile brune, compagne du soleil, a une masse qui représente 56% de la masse du soleil. Quand elle commencera réellement à approcher le système solaire, et qu'ils tournent en tandem, cela signifie que le soleil commencera à sentir sa gravité. Un léger effet de "vacillement" sera perceptible sur Terre par des mesures. Le basculement des pôles est cyclique (100.000 ans), cette perturbation magnétique sert simplement de mécanisme de déclenchement.




Cette mystérieuse planète aurait précédemment éjecté Pluton et Charon de leurs anciennes positions (comme satellites de Neptune). Selon des astronomes, la planète X était une intruse que le soleil aurait piégé dans une orbite très excentrique, très inclinée sur l'écliptique. Cette planète aurait 3 aux 4 fois la masse de la terre. Depuis fort longtemps les astronomes sont pour la plupart convaincus qu'il existe réellement une planète supplémentaire dans notre système solaire, raison pour laquelle elle fut appelée la 10e planète ou planète X.


A LA RECHERCHE DE LA PLANETE X

Même la NASA en 1982 va reconnaître l'existence possible d'une planète X. Puis, en 1983, le satellite Iras repère dans l'espace lointain un objet mystérieux, ainsi que le rapporte le 30 décembre 83 le Washington Post après avoir interviewé le responsable de l'Iras qui déclare "un corps céleste, peut-être aussi gros que la planète Jupiter et peut-être orienté vers la terre au point de faire partie du système solaire, a été découvert dans la direction de la constellation d'Orion par un télescope en orbite... nous ne savons pas ce que c'est".


Dans les années qui suivirent, on fut plus discret, mais les recherches continuèrent indiquant que X. devait avoir une orbite inclinée de 30 degrés sur l'écliptique, qu'elle devait se trouver trois fois plus loin du soleil que Pluton et avoir 3 à 4 fois la masse de la terre.

En 1987, la NASA reconnaît officiellement l'existence de cette planète, ainsi que le rapporte Newsweek du 13/7/87 "... La semaine dernière, la NASA fit une déclaration étrange : une 10e planète, excentrique, pourrait être en orbite (ou non) autour du soleil...".

Le 7 avril 2001, le rapport de Science News titre "l'orbite singulière d'une comète suggère une planète cachée " écrit " bien au-delà des neuf planètes connues un objet aussi massif que Mars pourrait avoir fait partie de notre système solaire et pourrait bien s'y trouver encore".

Ci-contre: Observation de Sedna par le télescope spatial Hubble


Cet article rapporte la découverte par une équipe d'astronomes, l'année précédente, d'une comète désignée cette fois-ci sous le nom de 2000-CR/105, sur une orbite solaire elliptique qui la situe à 4,5 milliards de kilomètres du soleil et (ajoute Sky And Télescope du 05/04/2020) cette orbite à une périodicité de 3300 ans (3600 ans selon d'autres sources).

Une autre étude de l'équipe de L'observatoire de Nice Côte d'Azur, parue dans Icare suppose que l'orbite de la comète pourrait être l'œuvre d'une planète encore invisible aussi grosse que Mars. La mystérieuse planète alimente les conversations des astronomes et des ufologues... De toute évidence la planète est bien là, toujours aussi mystérieuse.Certain prophétisent le retour, dans les temps présents, de cette planète, qui se nommerait "Nibiru" (la Nibiru des Sumériens).

La dixième planète peut être plus grande que prévue. Les astéroïdes, les comètes, et des objets de la ceinture de Kuiper changent considérablement dans leurs signatures infra-rouge en fonction de leur chaleur interne. Une erreur d'observation a pu avoir minimisé la taille de la dixième planète. Le télescope qui avait estimé l'objet céleste temporairement appelé Xena (2003UB313) à partir de sa cible infra-rouge était mal positionné lors de cette mesure qui avait été enregistrée dans les bases de données des astronomes.


ERIS - SEDNA - QUAOAR - ET LES AUTRES ...

Rappelons ce que sont les objets de Kuiper et de Oort. Ces objets se trouvent dans des zones dans lesquelles des calculs théoriques placent plusieurs milliards de "petits" corps glacés en orbite autour du Soleil. Comme l’existence de Neptune a été prédite par l’observation de l’orbite d’Uranus avant sa découverte effective au télescope, Ceinture de Kuiper et Nuage de Oort ont été "prédits" bien avant que leurs premiers objets soient réellement observés. Les comètes ne seraient que des objets de Kuiper ou de Oort que des perturbations orbitales amènent près du soleil. Les premiers objets de Kuiper observés ont été découverts en 1992. Ceinture de Kuiper et Nuage de Oort sont les grands oubliés des représentations classiques du système solaire. Il est vrai qu’ils ne représentent que 99,9999 % de l’espace occupé.




Les représentations de Pluton, Quaoar, Sedna et Xéna ne sont que des dessins correspondant à une
estimation, la surface de ces astres n’ayant jamais pu être photographiée avec une bonne résolution.


Si une dixième planète existe, il est peu probable qu'elle soit originaire du système solaire : des études détaillées de l'écliptique ont été prises en compte, concluant qu'aucune planète de la taille de la terre ou d'une taille supérieure ne pouvait exister sur le plan de l'écliptique à une distance plus petite que 60 UA. Par conséquent, une dixième planète devrait être sur une orbite fortement inclinée, et par conséquent avoir été capturée par le système solaire et non formée en même temps que lui. Divers objets de grande taille (plus petits que Pluton mais plus grands que 1 Cérès) tels que Sedna, Quaoar, Xena ou Orcus ont été découverts, mais ils ne correspondent pas aux objectifs de la recherche, la plupart des astronomes s'accordant à dire qu'ils seraient trop petits pour être considérés comme des planètes. Cependant les mesures des bases de données des astronomes sont peut-être erronés !


SEDNA
Mike Brown, Chad Trujillo (Observatoire Gemini) et David Rabinowitz (Université de Yale) ont découvert Sedna (2003VB12), le premier objet du Nuage d'Oort le 14 novembre 2003 au moyen du télescope de 1,2 mètre Samuel Oschin de l’Observatoire du Mont Palomar, près de San Diego. En l’espace de quelques jours, la découverte fut confirmée par des observations réalisées en Espagne, au Chili, en Arizona et à Hawaii. Spitzer, le nouveau télescope spatial de la Nasa, a également été braqué en direction de Sedna.


Cet objet, le plus distant tournant autour du soleil, est presque aussi grand que Pluton et il est situé à une distance équivalente à trois fois la distance entre Pluton et notre étoile. Situé dans un espace estimé vide par les astronomes, celui-ci est plus rouge et plus lumineux que n’importe quel objet du système solaire.

Il est possible que Sedna appartienne à un groupe de corps célestes formés suite à une perturbation gravitationnelle engendrée par une étoile passant près du Soleil aux premiers jours du système solaire.

Selon Mike Brown, cette étoile se serait rapprochée suffisamment près de la Terre pour briller plus que la pleine Lune et aurait été visible en plein jour durant 20000 ans. Elle aurait délogé les comètes situées dans le Nuage de Oort conduisant à un intense bombardement cométaire qui aurait pu être à l'origine de la vie sur Terre!


L’objet, nommé Sedna (en hommage à la déesse Inuit de l’Océan), est actuellement distant de 13 milliards de kilomètres, soit aux marches du système solaire. Les observations effectuées depuis la découverte de Sedna en novembre 2003, ont permis de déterminer que cette dernière suivait une trajectoire très elliptique. Les scientifiques pensent que, comme Pluton, Sedna pourrait provenir de la ceinture d'astéroides de Kuiper. En combinant les données disponibles sur ces différents corps célestes, Mike Brown estime que la taille de Sedna est environ à mi-chemin entre celle de Pluton et de Quaoar, un planétoïde plus petit découvert par la même équipe en 2002. Ces objets auraient été poussés par la gravitation des planètes géantes pendant 4,6 milliards d’années, âge actuel du système solaire.


La composition de Sedna est encore inconnue mais on estime qu’elle est composée principalement de glace et de roche. Cependant, Sedna est presque aussi rouge que Mars. La raison de cette couleur n’a pas été déterminée actuellement. La découverte de Sedna est cependant à considérer avec un certain recul.

L'institut de recherche binaire (BRI) a constaté que les caractéristiques orbitales du planétoïde récemment découvert "Sedna", démontre la possibilité que notre soleil puisse faire partie d'un système d'étoile double.


Dans un système binaire, le premier soleil tient le rôle principal en tant que force gravitationnelle. Contrairement à ce que l’on pensait dans le passé, les systèmes doubles sont maintenant considérés comme courant dans la voie lactée.

Notre soleil a t’il un compagnon ? Sedna décrit une orbite elliptique fort peu commune, qui pourrait être expliqué par un deuxième soleil dans notre système. Sedna ne devrait pas être là. Si elle s’éloigne autant de notre soleil, elle ne devrait pas revenir vers lui au-delà d’une certaine limite. L’elliptique de son orbite rend sa présence impossible sans un autre facteur gravitationnel jusqu’ici inconnu !

Sedna
s’approchera un peu de la Terre dans les années qui viennent. Mais même lorsqu’il sera au plus proche, dans 72 ans, il sera en fait encore très loin, bien au-delà de Pluton. Alors il entamera le voyage de retour vers les confins du Système solaire. La dernière fois que Sedna s’est trouvée aussi proche du Soleil, la Terre sortait tout juste du dernier age glaciaire. La prochaine fois qu’elle repassera, que sera devenue la Terre? Si Sedna n'est qu'un morceau de roche glaciare, il est fort peu probable que ce soit la Planète X, la Nibiru des sumériens... En effet, si la taille de Sedna, bien que relativement grande par rapport à la plupart d'autre KBO, est trop faible, elle ne peut perturber mesurablement Neptune ou toute autre chose.


ERIS / XENA
Des astronomes de l'Institut de Technologie de Californie ont découvert que Eris (
2003UB313), possède une lune (elle a été repérée le 10 septembre 2005), 100 fois plus faible que "Eris" et orbitant autour de la planète en deux semaines. XENA est bien plus grande que Pluton. Son diamètre est estimé à quelque 3000 km. D'autres mesures sont prévues, et si elles se confirment, il s'agira du plus grand objet du Système Solaire trouvé depuis la découverte de Neptune en 1846. Lors de l'annonce de sa découverte en juillet 2005, 2003 UB313 était le plus lointain des objets connus dans le système solaire. La distance actuelle de l'objet ainsi que la forte inclinaison de son orbite sont les deux raisons qui l'ont conduit à ne pas avoir été détecté avant.


XENA posssède aussi une lune. Mike Brown estime que cette lune, "Gabrielle" (Les astronomes l'ont nommée Gabrielle, en référence à la série télévisée "Xena : la Guerrière'") mesure au moins un dixième de la taille de Xéna, qui est supposée avoir un diamètre d'environ 2700 km (2274 kim pour Pluton).

La découverte de cette lune est d'importance, car elle devrait permettre d'évaluer la masse de cette dixième planète. En effet, plus la masse d'une planète est grande, plus elle attire ses satellites qui subissent alors une rotation plus rapide. A l'inverse, si une planète a une masse faible, sa lune sera plus éloignée et sa rotation plus lente.

Pour calculer la taille de XENA, l’équipe de Frank Bertoldi, du laboratoire de radio-astronomie de l’Institut Max Planck, a mesuré la radiation thermique de l’objet.


Une observation réalisée par le Télescope spatial Hubble les 9 et 10 décembre 2005 avère que sa taille serait seulement légèrement plus grande que Pluton : 2400 km de diamètre soit approximativement 100 km de plus que la neuvième planète. Cette nouvelle estimation oblige à réviser à la hausse l'albédo de 2003 UB313 (0,86), ce qui en ferait l'objet le plus brillant du système solaire avec Encelade, le satellite de Saturne.


Estimer la taille de la planète s'est révélé plus ardu : même connaissant sa magnitude, les astronomes doivent en effet savoir quelle fraction de la lumière incidente elle reflète. Or, l'objet est trop distant et trop froid pour être saisi par les télescopes à infrarouge qui pourraient livrer une telle information. L'équipe estime néanmoins que la planète doit réfléchir entre 50 et 100 pour cent de la lumière incidente, ce qui lui conférerait un diamètre supérieur à celui de Pluton (2.300 kilomètres), sans excéder 3.000 km au total. En 2006 les astronomes étaient conscients que la taille de Sedna était importante et attendaient d'autres mesures plus fines pour se prononcer sur ses caractéristiques.

Depuis la découverte initiale, les astronomes ont multiplié les observations et les calculs en vue de déterminer avec davantage de précision la taille et la magnitude de la planète. Ils pensent qu'elle est proche du point le plus éloigné de l'orbite qu'elle met 560 ans à parcourir autour du soleil au point le plus proche, la planète n'en serait éloignée que de 36 fois la distance séparant la Terre du soleil. Fait inhabituel, son orbite est inclinée de 44 degrés par rapport au plan de l'écliptique où gravitent la plupart des autres planètes, ce qui, selon M. Brown, pourrait tenir à une série de passages à proximité de Neptune


En 2005, plusieurs mois après la découverte, des astronomes distingués de 19 pays se sont réunis au centre astronomique du Vatican relié par l'Internet à l’Observatoire astronomique du Mount Tucson (Arizona, les Etats-Unis) - un des plus puissants au monde.

ERIS
est actuellement situé à 97 ua du Soleil et tourne autour de celui-ci selon une orbite très inclinée (environ 45 degrés) d'environ 557 ans. ERIS se trouve actuellement (2006) dans la constellation de la Baleine.


QUAOAR
Plus petit et découvert en octobre 2002, fait parti, comme Pluton, des objets de la Ceinture de Kuiper. Pluton et Quaoar seraient ainsi plus semblables à des comètes ratées, des mondes glacés dont le nom de planète est très discuté au sein de la communauté scientifique. Ils sont considérés officiellement comme des objets de la ceinture de Kuiper (des KBO) mais Pluton cumule également le titre de planète grâce à son diamètre plus important que Quaoar.


HERCOLUBUS

L’Apocalypse de Saint-Jean mentionne cet astre, le baptisant du nom "d’Absinthe, amertume", [Apoc. VIII, 11]. Cette planète gigantesque, habituellement désignée sous le nom d’Hercolobus, est appelée par certains la "Planète Froide" et d’autres la nomment la "Planète Rouge" ; elle est incontestablement beaucoup plus grande que Jupiter, le géant colossal de notre système solaire.


V. M. Rabolù, Indien d'Amérique du Sud, confirme dans "Hercolobus, planète rouge" édité en 2002, l'approche de Nibiru, qu'il a rebaptisée Hercolubus. Il décrit l'objet comme une énorme planète et confirme qu'elle influence et perturbe d'ores et déjà la Terre.

Voici ce que dit Rabolù à propos de la planète rouge : “Nous allons parler d’Hercolubus ou Planète Rouge, qui se dirige vers la Terre. Les scientifiques, selon leurs dires, l’ont même déjà pesé, il pèse tant de tonnes et mesure tel diamètre, comme s’il s’agissait d’un jouet pour enfants; mais ce ne pas ainsi. Hercolubus ou Planète Rouge est 5 ou 6 fois plus grand que Jupiter, c’est un énorme géant que rien ne peut arrêter ou dévier .../... L’axe de la Terre n’est déjà plus à sa place, et avec les secousses, les tremblements de terre, les raz-de-marée, il finira par lâcher et l’enfoncement commencera. Ne croyez pas cher lecteur, que la planète va s'enfoncer d'un seul coup. C’est un processus long, lent, angoissant”.


HYPOTHESE DE NEMESIS

Selon l'hypothèse de Némésis, le Soleil aurait comme compagnon une naine brune (une naine brune n'est ni une planète, ni une étoile, c'est en quelque sorte une étoile ratée) orbitant à grande distance. Tous les vingt-quatre millions d'années environ, son orbite traverserait une région plus dense du nuage de Oort, perturbant l'orbite de comètes qui entreraient alors en collision avec la Terre et les autres planètes.


Les naines brunes ne sont pas facilement observables, puisqu'elles n'émettent qu'un faible rayonnement dans l'infrarouge. C'est seulement depuis le milieu des années 1990 qu'on a pu établir leur existence.

Cette hypothèse a été proposée en 1983 par Richard Muller pour expliquer les grandes extinctions d'espèces, après que les deux paléontologistes David Raup et John Sepkoski aient découvert un intervalle régulier à ces extinctions.

Elle s'appuie également sur un article de 1979 par le prix Nobel de physique Luis Walter Alvarez, expliquant l'extinction des dinosaures il y a 65 millions d'années par l'impact d'un astéroïde. La remise en cause du caractère périodique des extinctions de masse rend aujourd'hui l'hypothèse de Némésis plus contestée, mais la théorie sur les grandes extinctions d'espèces l'est aussi...


Dans la mythologie Grecque, Némésis est la Déesse de la Vengeance et de la Justice distributive. Pour Hésiode, elle était fille de la Nuit; suivant d'autres, fille d'Erèbe, ou de l'Océan ou de la Justice. D'après une légende, elle était la mère d'Hélène. Némésis personnifait la loi morale qui réprouve tout excès et la jalousie divine qui frappe la propérité trop éclatante. Son temple le plus célèbre était celui de Rhammonte, en Attique. Sur les monnaies de Smyrne, Némésis était représentée debout sur un char, aux côtés d'Adrasté, la fille d'Anankê, l'index de la main droite sur la bouche pour recommander la discrétion et le silence.

Note: On donne également des noms de la mythologie à d'autres corps célestes, tels que les astéroïdes Certains astéroïdes possèdent des satellites et un satellite de l'astéroïde n°128 fut baptisée Némésis.


NIBIRU ET LES SUMERIENS

Il y a 6000 ans, la première grande civilisation sumer, fut fondée entre l'Euphrate et le Tigre, par les Sumeriens. Zecharia Sitchin (sitchin.com), historien d'origine Russe s'intéressant aux langues, à l'histoire et à l'archéologie de l'Orient ancien, conclut en 1976 une genèse de l'homo sapiens en accord avec celle des Tibétains, des Hawaiiens, des aborigènes d'Australie, des Indiens d'Amérique du Nord (Apaches, Hopis et Sioux), des Mayas (d'après le prêtre de la confrérie blanche des Mayas, Miquel Angel). Les Annunakiens des mythes Sumériens, "ceux qui descendaient du ciel sur la Terre", étaient des extra-terrestres venant d'une planète encore inconnue de notre système solaire qui fait le tour du soleil en 3600 ans, la planète Nibiru.

Il est curieux de noter que les phases évolutives de l'humanité se font au rythme de 3600 ans c'est-à-dire qu'à chaque retour de la planète Nibiru, une nouvelle phase civilisatrice commence. 11 000 ans Av. J.C. : l'agriculture ; 75 000 av. J.C. la culture néolithique puis 3800 ans av. J.C. la civilisation sumérienne.

La dernière fois que Nibiru serait passé, était à l'époque de Moïse. 1300 - 1250 ans av J.C. Deux faits furent marquant: d'abord la manne céleste. Son explication tient au fait que Nibiru, planète-comète, aurait une queue. Celle-ci, outre des particules allant du gravier aux pierres plus grosses, contiendrait des substances pétrolifères qui au contact de notre atmosphère se précipitent telle une rosée sucrée très riche en protéines et comestible. L'autre point serait l'ouverture de la Mer Rouge devant les Hébreux. Il s'est agi sous l'effet de l'attraction de Nibiru de remontées de plaques tectoniques qui ont momentanément scindé la mer en deux avant de s'effondrer engloutissant ainsi les Egyptiens. Dans ce ca, la Planète, sera au plus près de nous dans 250 à 300 ans par rapport à la date estimée de la vie de Moïse. Certains de ses passages ont été catastrophiques d'autres non. En tout cas, cela valide les écrits sumériens.




Sur le cylindre (sceau), les tailles des planètes montrées peuvent être considérées comme des approximations. Néanmoins, il est évident que Nibiru ait été considéré non seulement beaucoup plus grande que Pluton, mais également que la terre. Ce n'était donc pas "une roche glaciale" dans la ceinture de Kuiper. Nibiru, pour les Babyloniens, était le corps céleste lié au dieu Marduk. En Akkadien cela signifie "l' endroit de croisement " ou "l'endroit de la transition". Mais dans la plupart des textes babyloniens Marduk est identifié avec la planète Jupiter.

Selon des chercheurs et ufologues, les habitants de cette planète, les Nibiriens, (ou les Anunnaki, Nephilim, Elohim, Mardukiens, etc.), atterrirent sur notre Terre pour la première fois il y a environ 450.000 ans pour sauver leur planète. Ils se mirent à extraire l'or et d'autres matières premières dont ils avaient besoin et créèrent l'homo sapiens il y a 300.000 ans environ par manipulations génétiques sur des femelles d' hominiens. Ils avaient besoin d'aide, car ils ne voulaient plus extraire eux-mêmes ces matières premières. La Mésopotamie fut leur première colonie.

Selon le mythe, les dirigeants des civilisations extra-terrestres devaient faire face à des rivalités dues à la conduite à mené face à leur création. Les hommes qui n'étaient rien d'autre que des esclaves, furent soumis à la famine, aux maladies et à des guerres biologiques. Les textes de Mésopotamie montrent que tous ces moyens s'étant révélé inefficaces pour faire régresser la population humaine, les extra-terrestres décidèrent d'exterminer les hommes en provoquant un grand déluge. Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que " EA ", Prince extra-terrestre de la terre, créateur de l'homo sapiens, se rebella, n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux hommes, et fonda cette "Confrérie du Serpent". Mais la confrérie fut vaincue par d'autres groupes des extra-terrestres régnants, EA fut banni sur Terre. De " Prince de la Terre ", il passa " Prince des ténèbres ". On enseigna aux hommes que tout le mal de la Terre était de sa faute et qu'il voulait que les hommes deviennent des esclaves. On exhorta les hommes à le démasquer chaque fois qu'il se réincarnerait et à l'anéantir avec ses créatures s'ils les rencontraient.


LES GRANDES PREDICTIONS ET LA PLANETE X

Prophéties des Hopies
Chez les indiens Hopis d'Amérique du Nord, l'une d'elles dit ceci : "Un jour certaines étoiles viendront ensemble en une seule rangée, comme cela s'est déjà produit il y a des milliers d'années. C'est le temps de purification pour la Terre. Des changements de climat et de nombreuses catastrophes peuvent se produire quand nous parviendrons à ce stade. Ce qui peut se produire alors personne ne peut le savoir réellement". Des " étoiles en une seule rangée " ? Voilà un élément qui évoque l'alignement de toutes les planètes prévu le 21 décembre 2012. D'après cette prophétie, outre d'immenses dégâts et pertes en vies humaines, ce serait le début d'une nouvelle ère glaciaire. Les prophéties des Hopis auraient été communiquées à leurs prophètes par le Créateur lui-même. Elles peuvent ou ne peuvent pas se concrétiser. Il s'agit donc davantage de probabilités modifiables selon la volonté du Créateur ou des hommes, d'après ce que prétendent les Hopis qui les ont faites. Celles qui se sont réalisées sont tellement impressionnantes que le livre des prophéties des Hopis (Hotevilla) a été traduit en Français par l'Unesco (T. E. Mails, op. cit., p. 186).

Prophéties des Mayas
Les prophéties des Mayas sont en gros identiques à celles des Hopis. Elles indiquent que nous sommes parvenus à la fin d'un dernier cycle d'existence pour nos civilisations. Les dates données de ce cycle correspondent pour le début au 12 août 3114 avant J. C. et au 21 décembre 2012 pour la fin. A ce moment-là notre planète est censée enregistrer de très violents séismes terriblement dévastateurs.


Nostradamus
L’effrayante perturbation dans l’orbite et dans le mouvement de la planète Terre est expliquée scientifiquement par le voyant Nostradamus lui-même, par l’approche d’un autre astre qui, durant sept jours, apparaîtra comme un autre soleil.

II-41
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir.


"A une éclipse de soleil, dit Nostradamus, succédera l’été le plus obscur et le plus ténébreux qui ait jamais été vu depuis la création jusqu’à la passion et la mort de Jésus-Christ, et depuis ce moment jusqu’à ce jour, et c’est au mois d’octobre que se produira une grande translation, de telle sorte qu’on croira que la Terre sera sortie de son orbite et se sera abîmée dans les ténèbres éternelles".

L’Apocalypse
L’Apocalypse de Saint-Jean mentionne cet astre, le baptisant du nom d’Absinthe, amertume, (Apoc. VIII, 11). Cette planète gigantesque, habituellement désignée sous le nom d’Hercolobus, est appelée par certains la "Planète Froide" et d’autres la nomment la "Planète Rouge" ; elle est incontestablement beaucoup plus grande que Jupiter, le géant colossal de notre système solaire.

Astrologie l’Inde ancienne
Les astrologues de l’Inde ancienne nommaient Yuga le cycle de 3600 années correspondant au Shar. Selon les Puranas en effet, une Ère complète dure 14400 ans (soit 4 x 3600 ans) et se divise en quatre Âges principaux articulés à partir de ce cycle : le Satya Yuga ou Âge d’Or qui dure 7200 ans (soit 2 Shars), le Treta Yuga ou Âge d’Argent qui dure 3600 ans (soit 1 Shar), le Dwapara Yuga ou Âge de Cuivre qui dure 2400 ans (soit 2 tiers de Shar), et le Kali Yuga ou Âge de Fer qui dure 1200 ans (soit le tiers restant du quatrième Shar). Ces Âges se divisent eux-mêmes en sous-âges qui ont les mêmes noms et s’échelonnent selon le même rapport-temps (2 + 1 + 2/3 + 1/3 = 4). Ainsi, le Kali Yuga comporte son âge d’or qui dure 600 ans, son âge d’argent qui dure 300 ans, son âge de cuivre qui dure 200 ans et son âge de fer qui dure 100 ans. La période que nous finissons actuellement de traverser correspond à l’âge de fer du Kali Yuga et s’étend du début de notre XXe siècle au retour de Nibiru et au démarrage d’un nouveau grand cycle de 14400 années (= 4 Shars).



Commentaires

  • L'Architecte
    • 1. L'Architecte Le 09/05/2010
    Interessantes études, comme quoi il y aura toujours des découvertes à faire..

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